Chris Dmaned 13 juin, 2018 at 13:02 Répondre Le Doc de Don Letts est une saloperie et une fumisterie et ne mérite pas d’apparaître ici. Un tel ramassis de clichés sur le punk… Adoubé par Manoeuvre, ce qui est un signe de plus de la misérabilité du truc…
Ben 30 août, 2018 at 18:39 Répondre Bonjour Chris, pardon pour la réponse tardive… Je mets dans les références tout ce que j’ai pu lire, regarder ou écouter sur le sujet. Après, ça ne signifie pas que toutes les références se valent. En fait je vais être honnête, je ne me rappelle même plus de ce documentaire, je ne pourrais même pas vous en dire quoi que ce soit. Je l’ai probablement regardé que d’un œil, sincèrement. Ce que je peux dire en revanche, c’est que pour ce podcast, Please Kill Me le génial bouquin de McNeil et McCain m’a donné énormément d’inspiration, ainsi que les écrits de Nick Kent (je pourrais parler de Nick Kent pour toutes les émissions, quasiment).
Chris Damned 10 septembre, 2018 at 10:31 Répondre Hormis ce doc de Don Letts, bravo pour le boulot. Le cas Johnny Thunders est une montagne à escalader et pas facile de s’y risquer. Le projet avec Wayne Kramer (pas si poudré que tu le laisse entendre) n’a pas avorté, il n’a eu qu’un temps court de vie et le groupe était baptisé Gang War (un album devenu culte). Nick Kent, reste aussi un mec frustré de ne pas avoir pu participer en tant que musicien à l’aventure punk, donc ses écrits sont à prendre avec pincettes… Merci pour ton travail.
Ben 10 septembre, 2018 at 10:52 Répondre Et merci pour ton retour ! Je prends note de tes remarques, c’est pas si souvent qu’on a l’occasion d’échanger sur ce sujet. Si tu as un lien ou un une piste vers l’unique album de Gang War, je prends. Quand à Nick Kent, peut-être a-t-il effectivement été frustré de ne pas être davantage impliqué musicalement dans cette scène, en tout cas il reconnaît bien volontiers ne pas être fait pour être de ce côté des projecteurs.
doranekoc 12 novembre, 2018 at 13:39 Répondre bravo pour ce podcast. je savais déjà pas mal de truc sur Johnny mais j’en ai encore appris donc…
kikikill 26 décembre, 2018 at 14:18 Répondre bonjour Ben, Thunders jouait le jeu du addict sur scène, souvent alcoolisé et parfois piqué certes. Mais il accentuait ça en concert. Lors de sa tournée au japon (ok c’était plus difficile à se procurer de la drogue là bas) Johnny était très professionnel et assurait ses gigs. Toutes les personnes qui le connaissait seront d’accord sur ce point (Henir Paul Tortosa, Marc Zermati entre autres). Très bon article.